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[RÉSUMÉ] Résidences de Journalistes, partage d’expériences

Tours 2023

29 Mar 2023

Retrouvez l’essentiel de l’événement « Résidences de journalistes, partage d’expériences »

Photo : Mathilde Lafargue/EPJT

Avec Isabelle BORDES, journaliste indépendante, Mathilde BOUDON-LAMRAOUI, formatrice à La Friche, Guillaume DE LA CHAPPELLE, responsable de la communication à la DRAC Pays de la Loire, et Jean-Christophe THEOBALT, chargé de mission pour les nouvelles technologies de l’information et de la communication à la délégation au développement et à l’action territoriale du ministère de la Culture et de la Communication.

Animé par Elodie CERQUEIRA, présidente du Club de la Presse Centre-Val de Loire.

 

Les enjeux

Certains journalistes sont en résidences pour participer à des actions d’éducation aux médias. Gérées par les directions régionales des affaires culturelles (Drac), ces interventions ne sont pas encore reconnues comme du travail journalistique en soi. Cela peut donc être compliqué de se lancer. Vers quels acteurs se tourner ? Quel mode de rémunération choisir ? Partage d’expériences.

Ce qu’ils ont dit

Mathilde Boudon-Lamraoui : « Nous, notre approche journalistique passe par le récit de soi, on assume l’usage du « je » »

Jean-Christophe Théobalt : « Notre priorité au ministère, ce sont les adultes, mais en même temps c’est le public le plus difficile à toucher en termes d’éducation aux médias. »

Isabelle Bordes : « Les gens qui se sentent invisibles, il y en a plein dans les territoires ruraux »

Guillaume de la Chappelle : « Le profil parfait de l’intervenant, pour moi, c’est quelqu’un qui a un profil pédagogique mais qui est aussi un praticien »

À retenir

L’éducation aux médias est une mission relativement récente pour les Drac et elles ne sont pas toutes encore habituées aux résidences des journalistes. Il y a sur le territoire, de fait, une très grande diversité dans le fonctionnement de l’EMI : dans le montant des subventions ou dans les durées des résidences, entre autres. La Drac Pays de la Loire, par exemple, n’accepte que celles d’un minimum de deux mois, car elle estime qu’en deçà il est difficile de réaliser un travail de fond. Ce n’est pas le cas partout.

Fanny Uski-Billieux (EPJT)

 

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