En Tunisie, le décret-loi 54 suscite les inquiétudes de Manoubi Marouki, Secrétaire général du Conseil de presse Tunisien. Le décret « sous couvert de lutte contre la cybercriminalité et des « fake news », permet aux autorités tunisiennes d’imposer des restrictions illégales et arbitraires à l’exercice légitime du droit à la liberté d’expression”, explique la Commission internationale des juristes (ICJ).
Réalisé par Maël Prévost/EPJT.