Retrouvez l’essentiel de l’événement « Actualité des organisations syndicales : parole à la maison des lanceurs d’alerte »
Christian Dauriac, administrateur de la Maison des Lanceurs d’Alerte, présente le prix « l’Alerte à la Une ».
Photo : Laura Blairet/EPJT
Avec Christian Dauriac, administrateur de la Maison des Lanceurs d’Alerte et Dominique Pradalié, présidente de la FIJ (Fédération Internationale des Journalistes).
Les enjeux
La dernière conférence de la journée était l’occasion de présenter le nouveau prix mis en place par la Maison des Lanceurs d’Alerte : le prix « l’Alerte à la Une ». L’occasion de rappeler la nécessité de protéger les lanceurs d’alerte dans le cadre de la loi comme dans le cadre associatif.
Ce qu’ils ont dit
Christian Dauriac : « Les lanceurs d’alerte sont souvent des salariés licenciés à la suite de leur action. D’où l’importance du fond mis en place par la Maison des Lanceurs d’Alerte. »
Dominique Praladié : « Presque toutes les grosses dernières enquêtes journalistiques, comme les LuxLeaks, ont été lancées grâce à un lanceur d’alerte. »
« Le lanceur d’alerte n’est plus perçu comme un traître ou un mouton noir. C’est ça qui a évolué. Grâce à la loi [Waserman du 21 mars 2022, qui élargit la protection des lanceurs d’alerte] mais surtout grâce à l’opinion publique. »
À retenir
La Maison des Lanceurs d’Alerte, cofondée par dix-sept organisations autour du journalisme, lance un nouveau prix appelé l’Alerte à la Une pour récompenser les enquêtes journalistiques.
Laura Blairet
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